Valorisation du caoutchouc usagé par voie biologique

C'est le 15 décembre dernier que Frédérique Guillamot de l'Institut Mediterranéen d'Ecologie et de Paleocologie (IMEP) a soutenu sa thèse sur la valorisation biologique du caoutchouc usagé. Ces travaux qui ont commencé en 2007 ont abouti à une demande de brevet auprès de l'INPI...
L'objectif du travail de Frédérique Guillamot est de trouver de nouvelles voies de valorisation pour les pneumatiques usagés. Or, la voie biologique est une solution qui apparaît comme prometteuse.

Or, pour valoriser le caoutchouc usagé, il pourrait être particulièrement intéressant de le dévulcaniser. A cet égard, il existe des méthodes physiques et chimiques , mais elles ne sont pas spécifiques du soufre et sont souvent coûteuses en énergie/ et ou dangereuses. Ainsi la biosulférisation apparaît comme une voie d'avenir.


