Sepra, c’est propre!

Le 29/01/2007 à 18:20  

Sepra, c’est propre!
Sepra Environnement Sepra Environnement basée, cela ne s’invente pas, à La Bénisson Dieu dans la Loire, créé, fabrique et met sur le marché de quoi aider à mieux trier…. Gageons que ces produits, baptisés Retricycle, Cendri Rue ou encore Sakatri, connaîtront le succès escompté…

Retricycle, le tricycle affecté au tri

Unique de par sa conception, ce nouvel outil permet de récupérer et trier les déchets directement à la source (5 flux).

Polyvalent tout autant que résistant, il a été conçu pour une utilisation en extérieur, mais s’adapte à toutes sortes de situations : salons ou cafétérias ; de fait, il suscite la curiosité et sensibilise d’autant au tri sélectif…

Fabriqué en plastique soufflé PEHD 20% recyclé, 100 % recyclable, il se présente sous forme de kit à monter et pèse 44 kilos à tout casser…

Sakatri : le seul cabas compartimenté sur le marché

On nous le répète sans cesse : le tri commence à la maison… D’où l’idée de concevoir un sac cabas compartimenté, de façon à faciliter le transport des déchets recyclables vers un espace de tri sans pour autant avoir à convoyer un vrac.

Fabriqué en polypropylène tissé dont 20% proviennent du recyclage, lavable à 30°, sa contenance (55 litres) lui permet de contenir 7 à 8 kg de recyclables provenant de 5 sortes de déchets ou plus grâce à ses 9 alvéoles.

Cendri-Rue : à la mode, à la mode de chez nous

A la veille de la mise en œuvre du décret tant décrié interdisant aux fumeurs de fumer dans les lieux publics et sur le lieu de travail, le Cendri-Rue est le bienvenu.

Facile à vider, solide, conçu pour résister au vandalisme, au temps comme aux intempéries, il est disponible en 34 coloris, se met en place sur un poteau ou un mur et réceptionne les résidus de tabac.

Entièrement réalisé en aluminium, il ne pèse qu’un kilo. Le Cendri-Rue peut "ingurgiter" 250 mégots : ce sera autant de moins dans les rues …

A ce propos, il est amusant de se souvenir et de comparer…

Car tout est cyclique … et le recyclage aussi : il y a un peu moins d’un siècle, eh oui, des récupérateurs collectaient (sélectivement) les mégots jetés par terre. A partir de ces derniers, on récupérait le tabac qui servait ensuite à la fabrication de cigarettes bon marché. A l’époque, le mégot était coté ; aujourd’hui, force est de constater qu’il n’a plus la cote…