SCC dévoile les 10 règles d’or du recyclage informatique
SCC, société de services informatiques d’infrastructure, sensibilise et accompagne les entreprises pour le recyclage de leur matériel informatique. Nombre d’entre elles n’ont pas encore pris conscience de la valeur qu’elles pouvaient tirer de leur matériel. Ces entreprises sont par ailleurs confrontées à la réglementation de la DEEE visant à avoir une démarche citoyenne vis-à-vis des déchets informatiques.
Spécialiste de la gestion d’infrastructure, SCC revient sur les 10 étapes indispensables à la bonne conduite d’un projet de recyclage informatique
Reconnu comme un acteur majeur européen des services informatiques d’infrastructure, SCC est, avec un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros et 7500 collaborateurs, le premier groupe informatique privé d’Europe. SCC connaît depuis sa création en 1975, une croissance exceptionnelle et constante avec des profits continus. Elle est leader des services informatiques d’infrastructure au Royaume-Uni, en France, en Italie, en Allemagne, en Espagne, en Belgique et aux Pays-Bas et ses clients bénéficient en Europe de la proximité des 65 implantations du Groupe dans 8 pays Européens.
SCC jouit par ailleurs d'une présence mondiale, grâce à ses partenaires présents dans plus de 60 pays du monde entier (Global Partner Network). Parmi ses références, SCC compte des grandes sociétés privées et publiques telles Air France, Peugeot, Mazda, Conseils Régionaux, Conseils Généraux etc.
« Même si aujourd’hui de plus en plus d’entreprises recyclent leur matériel informatique, la sensibilisation doit encore être renforcée afin de faire prendre conscience au plus grand nombre les avantages multiples du recyclage. Chez SCC, nous avons enregistré une forte demande de prestations de recyclage en 2006, nous sommes très confiants dans le développement de cette activité qui répond entièrement à la récente directive européenne», explique Nicolas Flipo, Responsable Recyclage SCC France.
On l'a bien compris : SCC se dit convaincue que les entreprises peuvent tirer profit de la réglementation D3E plutôt que de la subir comme une contrainte. Pour ce faire, elle a édité « ses dix commandements », sous forme de recommandations…
Avoir une visibilité précise du matériel informatique mis sur le marché avant le 13 août 2005 puisqu’il incombera aux entreprises d’assurer le recyclage de tous ces matériels,
Profiter du déploiement de nouvelles machines pour récupérer les anciennes au même moment afin de réduire les frais de transport en mutualisant la logistique,
Réfléchir au reconditionnement ou à la revente en l’état avant d’envisager une destruction du matériel. En effet, un quart du matériel mis au rebut pourrait être revalorisé (poste pour stagiaire, accueil, …),
S’assurer de la destruction totale des données sensibles afin d’éviter tout risque de divulgation accidentelle ou intentionnelle, et d’espionnage industriel,
Choisir un partenaire Recyclage fiable utilisant des filières agréées afin d’avoir toutes les garanties de conformité à la législation environnementale,
Exiger un BSDI (Bordereau de Suivi de Déchets Industriels) car il est le seul document officiel et reconnu pour le recyclage des DEEE,
Envisager le recyclage comme une création de valeur, car il permet à la fois de récupérer des fonds et de réduire la taxe professionnelle,
Etre en conformité avec la législation française et éviter des amendes de 3ème et 5ème classe ou même des sanctions pénales,
Ne pas attendre la fin du cycle de vie des machines afin de mieux valoriser le matériel et pouvoir le revendre,
Gérer le recyclage « au fil de l’eau » afin d’éviter d’être submergé par des stocks de matériels trop importants.