Remondis : « proposeur » de solutions DEEE
Remondis Electrorecycling dispose à ce jour d’un peu moins de 15 ans d’expérience dans la mise en place de systèmes de retour efficaces et exploite sur toute l’Europe les lignes les plus modernes de traitement des appareils de froid, de séparation des verres à tubes cathodiques ainsi que de démantèlement des téléviseurs et des moniteurs. Elle a programmé son débarquement en France et le compte à rebours a commencé…
Remondis est l’une des plus grandes entreprises privées de la gestion de l’eau et des déchets. Avec environ 15 000 collaborateurs, elle enregistre un CA de 2,2 milliards d’euros…
Depuis plusieurs années, l’entreprise se prépare à la transposition des directives européennes
Pour ce faire, l’équipe d’experts de Remondis suit les processus de transposition dans les Etats membres ainsi que les calendriers de démarrage.
L’entreprise a réalisé des investissements considérables au cours de ces deux dernières années et peut proposer en Europe un portfolio de services globaux (de la logistique au traitement jusqu’à la valorisation des matières première secondaires produites). Les services proposés concernent les équipements de toutes les catégories de la directive DEEE.
Et Remondis se positionne en France
Sur une courte période, l’entreprise a mis en exploitation en Europe les capacités nécessaires au traitement et à la valorisation des équipements électriques et électroniques. Ainsi, l’un des centres retour des plus modernes d’Europe est actuellement en train de se finaliser en Allemagne avec une phase de planification–réalisation, de seulement 6 mois.
En France, l’entreprise est donc également sur la ligne de départ.
Elle investira ici aussi, à court terme, dans les capacités de traitement et de valorisation nécessaires. Des pourparlers sont actuellement en cours avec les différents éco-organismes en gestation.
A l’heure actuelle, quatre nouveaux centres retour sont projetés sur notre territoire. La logistique nécessaire se base sur les agences françaises de l’entreprise déjà fonctionnelles. Jusqu’à la mise en activité de ces nouveaux centres, elle dispose des capacités de traitement et de valorisation suffisantes dans son propre réseau d’installations.