
Petite mise au point... Si la société prend acte de la décision définitive de justice du 21 septembre dernier (voir Métal Blanc : le verdict est tombé) qui met fin à une longue saga judiciaire pour des faits de pollution industrielle constatés entre 1996 et 1999 sur un site faisant l’objet d’une pollution historique (fonderies des Ardennes), elle tient néanmoins à préciser quelques points …

La pollution historique avait été démontrée en 1998, comme en 2000 par Antéa…
Pour autant, que de rebondissements…

Avant de conclure la transaction, ce groupe a fait exécuter un audit environnemental complet par le cabinet URS, internationalement reconnu et spécialisé dans son domaine : l’environnement. Cet audit a conclu au respect total des normes prescrites par l’Arrêté d’exploitation préfectoral et au respect des prescriptions en matière du droit du travail et social.
Il a également conclu que l’es résultats environnementaux ainsi que les normes d’hygiène et de sécurité pour les salariés étaient meilleurs que les normes exigées.

Les mesures permanentes et contrôles quotidiens la placent au dessus des normes requises. Par ses initiatives et innovations sert aujourd’hui de modèle aux autres entreprises qui viennent la visiter.
Plus qu’aucune autre usine, elle se doit s’être irréprochable »…
En d’autres termes, les acquéreurs, la nouvelle direction et les salariés de Métal Blanc sont fiers du site qu’ils exploitent.

En d’autres termes, il n’y a plus qu’à recycler les batteries automobiles: l'outil industriel est mis en place pour ce faire et dans les règles de l'art!
