Elle vise à prévenir et à réparer le dommage écologique pur (atteintes à la qualité des eaux de surface et souterraines ou au patrimoine naturel protégé, dommages liés à la pollution des sols…).
Appliquant le principe pollueur payeur, elle oblige l’exploitant à réparer à ses frais le dommage causé par son activité.
De plus, les Etats membres doivent transposer dans leur droit national les dispositions de cette directive d’ici le 30 avril 2007.