DEEE : ATF aide les entreprises à transformer l’obligation de recyclage en plus-value


Depuis 1998, elle a ouvert ses compétences au marché des PC et s’est spécialisée dans le rachat des parcs informatiques des grands comptes. Puis, elle s’est rapproché des acteurs principaux du marché de la distribution informatique (constructeurs, corporate resellers, leasers…) et a étendu ses activités de revente de matériels reconditionnés à la vente de pièces détachées constructeurs aux sociétés de maintenance.
Dans le cadre de sa stratégie de développement durable, ATF a participé à la création du guide pratique « que faire de votre matériel informatique en fin de vie » édité en collaboration avec l’Ademe. Elle réunit aujourd'hui 31 collaborateurs et affiche un chiffre d’affaires 2006 de 6 millions 100 d’euros. ATF se positionne aujourd’hui comme un acteur majeur du marché de l’occasion et comme le leader Français de la pièce détachée reconditionnée.

L’ampleur de la plus value que l’entreprise peut dégager par la revente de ses matériels obsolètes, dépend essentiellement de sa capacité à mettre en place une stratégie globale de gestion des DEEE...


«La valorisation et plus particulièrement la réutilisation des déchets d’équipements électriques et électroniques est préférée à leur destruction », afin de réduire la quantité de déchets à éliminer. Cette formulation du texte de la directive européenne invite clairement les entreprises à privilégier toutes les méthodes permettant de réutiliser, en tout ou partie, les biens informatiques ou électroniques obsolètes.

ATF a constaté depuis 1998 une augmentation régulière de la demande de pièces détachées destinées aux professionnels de la maintenance et de la réparation informatique. A l’unité, en lot ou en pièces détachés, le matériel reconditionné permet à d’autres entreprises de réaliser des économies substantielles :
- Avec la pièce détachée, en évitant de remplacer un matériel critique suite à une panne
- Avec le matériel d’occasion, en remplaçant à l’identique le matériel défectueux et en répondant ainsi au besoin de certaines entreprises de maintenir l’homogénéité de leur parc informatique.



Le premier facteur de risque de dégradation de la plus value est lié à la durée même des projets de renouvellement de parc, et à la tendance des entreprises à remettre à plus tard le traitement des DEEE.
Il n’est pas rare de constater une chute importante de la plus value réalisable lorsque le matériel obsolète est resté stocké dans les sous-sols de l’entreprise.

Le deuxième facteur est souvent lié à la multiplication des flux logistiques distincts : livraison du matériel neuf, évacuation des emballages du matériel neuf, déplacement vers un stockage temporaire des matériels obsolètes, regroupement de ces matériels dans un entrepôt ou au siège social, enlèvement par un prestataire chargé du retraitement.
Ces opérations séparées restent plus coûteuses qu’un flux logistique unifié tel que le propose ATF, réutilisant les emballages des matériels neufs pour conditionner les matériels obsolètes, qui lui seront ensuite livrés par le même transporteur.




Spécialiste de la valorisation des parcs informatiques depuis 11 ans, ATF conseille et aide les entreprises à mieux gérer la fin du cycle de vie de leurs machines. Avec une parfaite maîtrise de l’intégralité de la chaîne de valorisation, ATF limite au strict minimum la perte de valeur des matériels et réduit les coûts logistiques de préparation et de collecte jusqu’à 40% du coût logistique global de renouvellement d’un parc.


Promulguée en 2002, mais applicable en France depuis le 13 août 2005, la directive interdit d’abandonner les DEEE en décharge et impose des règles strictes de dépollution pour les équipements devant être détruits.


Selon l’article 22 du décret 2005-829 du 20 juillet 2005
« La valorisation et plus particulièrement la réutilisation des déchets d’équipements électriques et électroniques est préférée à leur destruction ». Cet article concerne aussi bien les matériels achetés avant le 13 août 2005 qu’après le 13 août 2005.

