
Chaque année, près d’1 million de tonnes de déchets verts (branches, résidus de tonte et feuilles) sont brûlés à l’air libre, notamment par les particuliers. Cette pratique illégale a des impacts sanitaires et environnementaux importants : en effet, brûler 50 kg de végétaux à l’air libre émet autant de particules fines qu’une voiture diesel récente qui parcourt 13.000 km. Pour faire face à cet enjeu, l’Ademe vient d'éditer une publication...





le traitement : gérer les déchets verts et les transformer en ressources pour la fabrication d’engrais organiques pour fertiliser les sols agricoles, développer la méthanisation pour valoriser les déchets organiques en biogaz..jpg)
Pour favoriser des pratiques alternatives au brûlage, l’Ademe propose aux collectivités des aides financières qui concernent la mise en œuvre des actions préventives à la production de déchets, aux pratiques inciviques ainsi que la gestion des flux : étude de diagnostic, aide à l’investissement, aide au changement de comportements.
Pour plus d'informations et consulter/télécharger ce guide de bonnes pratiques, rendez-vous ici. Et en rapport avec le sujet, nous vous renvoyons à notre article : Déchets verts : les (bons) gestes à adopter.
