Citron placée en redressement judiciaire
L'usine de recyclage de déchets contenant des métaux lourds vient d'être placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce du Havre. Implantée depuis plus de 10 ans, elle a dévellopé une technologie pour recycler un assemblage de déchets composés de carbone et de métaux lourds comme les piles usagées, accumulateurs, déchets contenant des métaux lourds. Son unité de traitement a une capacité de 20 000 tonnes/an et de 3 000 tonnes an de déchets mercuriels qui sont incinérés dans un four à pyrolise, four à fusion, et un four mercuriel....
Le site industriel de Citron qui emploie 110 personnes a été placé en redressement judiciaire le 25 septembre par le tribunal de commerce du Havre avec une période d'observation de six mois. L'origine de ce jugement est un contentieux avec l'Urssaf. Les représentants du CFE-CGC réclament des mesures sanitaires affirmant que les normes d'hygiène, de sécurité et environnementales ne sont pas respectées.
L'usine de recyclage de déchets contenant des métaux lourds vient d'être placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce du Havre. Implantée depuis plus de 10 ans, elle a dévellopé une technologie pour recycler un assemblage de déchets composés de carbone et de métaux lourds comme les piles usagées, accumulateurs, déchets contenant des métaux lourds. Son unité de traitement a une capacité de 20 000 tonnes/an et de 3 000 tonnes an de déchets mercuriels qui sont incinérés dans un four à pyrolise, four à fusion, et un four mercuriel....
Le site industriel de Citron qui emploie 110 personnes a été placé en redressement judiciaire le 25 septembre par le tribunal de commerce du Havre avec une période d'observation de six mois. L'origine de ce jugement est un contentieux avec l'Urssaf. Les représentants du CFE-CGC réclament des mesures sanitaires affirmant que les normes d'hygiène, de sécurité et environnementales ne sont pas respectées.
« Depuis plusieurs mois, notre syndicat alerte la direction sur de multiples dysfonctionnements, contamination de salariés au nickel, rejets de boues de métaux lourds non filtrés dans la Seine. Mais le directeur n’a jamais voulu nous écouter et nous avons alerté la population », a ajouté Michel Walosik, président de l'Union locale CFE CGC du Havre.
Pour mémoire, cette société a déjà été mise en demeure par la DREAL de Haute-Normandie pour ne pas avoir évacué des terres polluées. Un arrêté de consignation en date du 13 août l'oblige à transférer au Trésor public une somme de 3,4 millions d'euros correspondant au coût de l'enlèvement.