Chimirec intègre quatre nouvelles filiales

 Accélération du développement du groupe en 2019 : le spécialiste de la gestion des déchets intègre en effet quatre nouvelles filiales de collecte et de traitement des déchets, réparties dans trois départements...

 En 2019, Chimirec accélère son développement, en intégrant quatre nouvelles filiales de collecte et de traitement des déchets : Astrhul et Solairgies dans le Maine-et-Loire, Aretzia dans la Loire-Atlantique, et CDS Services dans l’Eure-et-Loir, des intégrations qui, selon Christophe Maillet, Directeur Général Adjoint du groupe, « consolident le développement de l’activité du groupe et renforcent le service de proximité que nous proposons à nos clients ».
Au regard de l'histoire de l'entreprise, ce n'est pas une première que cette façon d'élargir son périmètre: le groupe s’est largement développé en effet, à travers la création de filiales régionales et le rachat de sociétés, tout en ayant su par ailleurs, diversifier les compétences, allant de la collecte, aux activités de traitement (filtres, huiles claires, liquides de refroidissement, plastique, matériels souillés aux PCB, et fabrication de combustibles de substitution). C'est ainsi que le groupe, quis dispose de 35 sites, collecte chaque année plus de 300 000 tonnes de déchets dangereux auprès de plus de 42 000 producteurs.

 Quatre nouvelles structures passent sous bannière Chimirec :
 Deux dédiées à la collecte des déchets (Astruhl et CDS Services), 
 Créée en 1993, Astruhl , collecte dans le grand ouest de la France, environ 30 000 tonnes par an de déchets auprès des secteurs de l’Automobile, l’Industrie et des Collectivités et propose une large gamme de prestations telles que collecte et valorisation des huiles usagées, traitement et valorisation de déchets hydrocarburés, traitement et valorisation des déchets de l'automobile, gestion déléguée sur site, travaux de
dépollution...
 Depuis 2001, CDS Services, société indépendante, intervient dans le domaine de la collecte, du traitement et du recyclage des déchets industriels dangereux et non dangereux. Elle collecte environ 20 000 tonnes de déchets par an.
 Et deux consacrées au traitement de ceux-ci (Solairgies et Aretzia).
 En 2013, Solairgies fut le premier site en France de traitement et de valorisation de déchets dangereux et non dangereux par "séchage solaire combiné". L’entreprise traite à ce jour, environ 40 000 tonnes de déchets par an.
 Le centre de traitement Aretzia a quant à lui, commencé par traiter les déchets dangereux issus de la réhabilitation de l'ancien site industriel en 1998. La société propose aujourd’hui le traitement des déchets liquides et des boues provenant des industriels, des collectivités et des collecteurs de déchets.