Biogaz de décharge : Bionersis place ses pions
A quelques semaines de l'ouverture du sommet de Copenhague, Bionersis confirme son statut de spécialiste français du crédit-carbone et du développement de projets de réduction d'émissions de gaz à effet de serre (GES), dans le cadre du Mécanisme de Développement Propre (MDP) du Protocole de Kyoto...
Avec 16 sites dans le monde signés et soumis pour approbation auprès de l'UNFCCC (Secrétariat Général du Protocole de Kyoto), le Groupe s'affirme en effet comme le plus réactif des développeurs français de projet MDP et le spécialiste mondial du traitement de biogaz de décharge.
Forte de son expertise unique et ses soutiens financiers, Bionersis continue son développement avec la conclusion récente de 3 nouveaux contrats en Colombie sur les sites de Cúcuta, Manizales et Villavicencio. Reconnue à l'échelle mondiale comme un acteur majeur de son secteur, la société est fréquemment sollicitée pour participer à des appels d'offre ou pour se substituer à des développeurs de projets défaillants sur des sites déjà attribués, tant en Amérique latin qu'en Asie. Ainsi, Bionersis négocie actuellement la reprise de plusieurs projets à très forts potentiels représentant chacun plusieurs millions de tonnes d'équivalent CO2 à détruire.
Sur le plan financier, après avoir sécurisé son financement à court terme par la succès de son augmentation de capital en juillet 2009, la société consolide maintenant ses capacités de financement à moyen/long terme, notamment par la structuration de partenariats industriels. Le site mis en chantier en Thaïlande est ainsi le premier projet intégralement financé dans le cadre d'un partenariat avec un grand énergéticien européen (voir notre article). D'autres sites en construction ou signés s'inscrivent également dans le cadre de partenariats industriels ou financiers actuellement en cours de finalisation.
Pour rappel, Bionersis est un acteur global du secteur des énergies renouvelables (EnR) spécialisé dans la valorisation du biogaz de décharge. La capture de ces GES permet de générer des crédits-carbone via l’enregistrement de projets dans le cadre du protocole de Kyoto.