Caréco se pose là… avec plus de 150 000 véhicules hors d’usage collectés et traités par an dans le respect de la Directive Européenne, le réseau Careco, fort de ses 80 centres, tous détenteurs de l’agrément et de l’autorisation préfectorale, et de 1100 collaborateurs, est le premier réseau national de recyclage automobile, sous enseigne. Avec un code barre posé sur un demi-million de rétroviseurs, démarreurs, alternateurs, moteurs, portières recyclées et toutes pièces de qualité, Caréco propose aux consommateurs un véritable label de qualité…
Acteur évident du recyclage automobile, Caréco met en oeuvre un programme totalement nouveau dans ce secteur d’activités : «une pièce, un code barre » et ce, pour répondre aux attentes de ses clients, qu’ils soient particuliers ou professionnels. Sur chaque pièce détachée automobile de réemploi issue de ses ateliers, Caréco appose donc un gage de traçabilité, de qualité et de transparence, sous forme de code barre. L’ensemble de son stock, à savoir 30 millions de pièces, est concerné.
A compter d’aujourd’hui, la pièce de réemploi devient un produit totalement identifié : assurance totale sur la provenance de la pièce, traçabilité intégrale, garantie que la pièce sera parfaitement adaptée au modèle et à la série de la voiture à réparer, et le code barre devient label de qualité.
De plus, on assiste en direct à une sorte de révolution dans le secteur automobile : pour les assureurs, les mutuelles, les experts en assurances et les garages partenaires, la pièce de réemploi dispose d’une carte d’identité, directement accessible sur les banques de données des centres Caréco, et immédiatement identifiable (disponibilité de la pièce en stock, portabilité sur les modèles de voitures concernées).
Le code barre représente à la fois un certificat d’économie, avec des prix inférieurs de 30 à 70 % à l’équivalent en pièce neuve, et un gage de qualité.
« Le code barre apposé sur les pièces automobiles de réemploi est une avancée radicale pour le consommateur. La traçabilité, la qualité, mais aussi le label vert associé à ces pièces de recyclage s’affichent désormais au travers de cette étiquette.
Premier acteur du recyclage automobile, Caréco s’est engagé fortement dans ce programme « une pièce, un code barre » parce qu’il correspond à sa mission profonde d’offrir aux automobilistes des produits fiables et en phase avec les contraintes actuelles de pouvoir d’achat.
Cette petite étiquette révolutionne le monde de la pièce auto de réemploi, et lui donne les mêmes garanties que la pièce neuve. Elle est le témoin que le secteur de la déconstruction automobile s’est hissé au niveau des exigences de l’industrie automobile.
C’est enfin et surtout le signe que nous pouvons aider le consommateur à gagner la bataille de la transparence et de la fiabilité. C’est la vocation d’une coopérative comme Caréco, qui fédère des entrepreneurs proches de leurs clients partout en France », insiste le Directeur Général Délégué du réseau, Bertrand de Lavilléon…
A la suite de quoi, le dire est une chose, le faire en une autre …
Relayé par une équipe informatique de 5 personnes, ce programme a pour ambition d’implanter une informatisation complète des stocks sur l’ensemble du réseau. Parce qu’il va de soit qu’instaurer un code barre pour chaque pièce réceptionnée puis distribuée par le réseau nécessite un peu d’organisation et des compétences effectives : de fait, il a fallu 3 ans de travail pour mettre au point le code en question, lequel a été expérimenté dans les ateliers test avant d’être généralisé.
A ce jour un peu moins de 80 centres sont équipés (ou en cours d’équipement) : stations de travail dans les ateliers, ordinateurs reliés en réseaux, lecteurs de code barre, imprimantes pour l’édition d’étiquettes, mini- ateliers photos dédiés à la pièce à l’issue de son démontage.
Ce n’est pas sans incidence pour ce réseau Pro du recyclage auto ; l’impact de ce programme est multiple :
il renforce la culture industrielle de Caréco, en standardisant tout le process de déconstruction des VHU, véhicules hors d’usage ;
il fait évoluer favorablement l’ensemble des métiers de la coopérative, avec plus de délégation, de transparence et de fiabilité des informations ;
il va permettre la mutualisation complète du stock, et la constitution d’une gestion des stocks centralisée et constamment mise à jour ;
il marque définitivement la fin des «casses automobiles», dont la provenance des pièces pouvait être parfois sujette à caution et dont la disponibilité pouvait être aléatoire.
c’est sans compter que cette nouvelle façon de faire répond de manière beaucoup plus adéquate aux exigences des experts en assurances et des garages partenaires, dopant par voie de conséquence la remise en service des pièces de réemploi, puisque, grâce à cette informatisation, près d’une pièce récupérée sur deux reprend du service rapidement...